SS Lazio

Lazio championne d'Italie de Beach Soccer, après avoir battu en finale... la Roma.

Je viens de voir ça sur Twitter. Dur les derbys cette saison.

l'Udinese en s'affaiblissant chaque année réalise de très bonnes prestations, cette année ils n'ont quasiment pas changé l'effectif

Suite de mon post précédent :

C'est le fils de Diego Maradonna qui a donné la victoire à la Lazio ^^

la m**** jouera face à Nice qui a été battu par le Raja ^^

Cyril a écrit:: Suite de mon post précédent :

C'est le fils de Diego Maradonna qui a donné la victoire à la Lazio ^^

J'ai vu ça sur So Foot, bel article d'ailleurs. 2012-2013 c'est vraiment une période sombre pour tout supporter giallorosso. La suite en Septembre, on a intérêt de faire le plein de points avant de les affronter sinon toute défaite serait déjà fatale.

Cyril a écrit:: Lazio championne d'Italie de Beach Soccer, après avoir battu en finale... la Roma.

Je viens de voir ça sur Twitter. Dur les derbys cette saison.

Si ce n'était que cette saison ça ne serait rien...

169 matchs : 63 victoires (Roma), 60 nuls, 46 défaites (Lazio)

Et sur les 2 dernière saison ?

Tu n'as pas compris le sens de mon post qui était moins espacé dans l'historique des derby

Bah un ou deux saisons y a pas une "immense différence" ^^

A nous d'inverser la tendance.
Techniquement on a largement les moyens, maintenant à voir dans les têtes...

voila, c'est dans la tête qu'ils nous sont supérieurs.

Lazio m**** ^^

Siena-Lazio 1-0 (21' Giannetti)

LAZIO PRIMO TEMPO (4-2-3-1): Bizzarri; Konko, Biava, Ciani, Radu; Ledesma, Cataldi; Floccari, Ederson, Lulic; Kozak.

LAZIO SECONDO TEMPO (3-4-3) - Bizzarri (dal 65' Strakosha); Stankevicius, Cana, Dias; Cavanda, Biglia, Mauri, Crecco (dal 65' Vinicius); Rozzi, Klose, Keita.

http://www.lalaziosiamonoi.it/news/rivivi-la-diretta-siena-lazio-1-0-21-giannetti-36276

Bien fait pour ces petites pétasses

C'est fini, il n'y a plus de revanche, le derby est mort le 26 mai...

C'est inutile que vous vous essoufflez, c'est inutile de commencer les comptes à rebours ou de rêver à d'impossibles revanches le 22 septembre, le 9 février ou dans une hypothétique demi-finale de Coupe Italie : le derby n'existe plus, le derby est mort le 26 mai du 2013. Ce jour là avec ce match, est comme si on avait fermé une époque, ou mieux comme si le dernier paragraphe d'un livre de 86 ans, faites de batailles parfois épiques, de heurts dans et hors du rectangle vert, de grands héros et grandes pertes s'était refermé. Jamais en 86 ans il y avait eu un match comme celui du 26 mai : LE MATCH DES MATCHS, le rêve fou de chaque supporter de football en général et du romain en particulier. Quatre-vingt-dix minutes avec en jeu un trophée qui avait des significations qui allaient au-delà d'une simple coupe à mettre en vitrine ou à élever en visage des rivaux de toujours. Parce que ce qui s'est passé a été comme toucher le ciel du doigt, comme réaliser le rêve bercé d'une vie, comme sortir avec la femme que tous voudraient avoir. Et après avoir éprouvé quelque chose pareil, tout perd presque signification, rien ne pourra t'offrir les émotions et les sensations éprouvées à ce moment là.

Auparavant, le jour de la sortie des calendriers la première chose qu'on regardait c'était la journée où tombait le derby, date de l'allée et du retour, qui jouait le premier à la maison. Hier je n'ai pas regardé quand on jouait le derby, parce que pour moi ce mot a perdu de sa siginification. Elle m'a enlevé même cette anxiété mêlée à la gène qui accompagnait ce double rendez-vous saisonnier, qui en 1994 m'avait porté à dire qu'il suffisait , à n'aller au stade qu'à l'occasion des derbys. Cette gène et cette anxiété ont disparu, ce charme, le soir du 26 mai. Comme lorsque tu crains un verdict qui peut changer ta vie et autrefois arrivé on se sentait vidés. Tu te rends compte que depuis cet instant rien ne pourra te préoccuper comme ce fantôme qui s'est dissous. Il y aura d'autres défis importants, difficiles, décisifs. On jouera d'autres parties tendues et avec un objectif en jeu important, mais dorénavant ce seront de pures et simples parties. Parce que même pas en en gagnant dix de suite je n'éprouverais ce que j'ai éprouvé le 26 mai, parce même pas en en perdant dix de suite on m'effacera le sourire pour cette Coupe soulevé au visage d'un ennemi vaincu et invisible, parce qu'il avait abandonné le stade bien avant la remise des prix. Aucune victoire à l'avenir ne pourra déclencher le chambrage comme celui des 2 derniers mois, aucune défaite dans le futur ne pourra rayer le nom de Lulic, cette 71eme min entrée dans le légende, cette coupe au visage qui est devenue peinture sur les murs, posters, adhésifs, banderoles traînées d'avions.

Pour celà, laissons-le à eux ce mot derby vidé de signification. Le 22 septembre on jouera à l'Olimpico Roma-Lazio, une partie qui vaut 3 points comme celle contre Chievo ou contre Sassuolo, peut-être plus chargée en histoire parce que l'adversaire est plus important, mais il vaut autant qu'un Naples-Lazio, Milan-Lazio, Inter-Lazio et peut-être moins qu'un Juve-Lazio au programme le 1 septembre. Parce que l'unicité des sensations et des émotions de cette finale a tout rayé. C'est fini, il n'y à plus revanche, il n'y a pas plus derby. Au moins pour nous. Pour vous qui êtes mal depuis deux mois et que vous rêvez d'un rachat impossible, peut-être que ce mot a encore un sens. Pour nous non, donc nous vous le laissons volontiers. Pour nous le derby est est mort le 26 mai et à partir de cet événement rien ne sera plus comme avant.

Laughing

En même temps ils ont pas faux. Il va en falloir des derby gagnés et des meilleurs position au classement pour effacé cela. Pendant 5ans facile ils peuvent nous faire c**** avec cela (en admettant qu'on face bien)

Général Nombre de messages : 1545 Age : 27 Date d'inscription : 11/07/2013

C'est bien trop facile de dire ça. Même si ce match était un des plus importants, voire le plus important des derbys, c'est pas une raison pour effacer toutes les significations des prochains derbys, c'est trop simple, ça veut dire s'autoproclamer meilleurs et dire que tous les autres matchs n'étaient quasi pas importants.

Enfin, c'est dans le même but : faire rager les supporters de la Roma pour leur faire croire que maintenant que la finale a été gagnée par la Lazio (p***** ça me fait tellement c**** d'écrire ça encore) les prochains derbys n'effaceront pas ce qui s'est passé le 26 Mai. Or, ce même gars qui écrit ce texte, sera comme un fou si la Lazio prend une branlée devant le prochain Roma-Lazio.
Tu ne peux pas vivre éternellement dans le passé, et te consoler avec les résultats précédents.

Faut pas leur laisser une chance au prochains derbys et on va vite leur montrer que la finale ne fait pas tout à un moment donné

ça montre bien surtout leur syndrome d'infériorité qu'ils ont envers nous...

Si on avait gagné la finale, on aurait jamais parlé de "le derby n'existe pu" on aurait dit qu'on va les re-dézinguer le 22 septembre. Et qu'on va continuer à accroitre notre supériorité historique sur eux...

"peuple" de frustrés...

Mouais perso j'aurais dit les 2 ^^

J'aurais dit comme toi à la base, puis si on avait perdu j'aurais dit "on s'en fout on a gagné le derby le plus important de l'histoire et ça vous l'aurez jamais".

Enfin nous toute façon, on a qu'un seul choix viable.

Yassine a écrit:: C'est fini, il n'y a plus de revanche, le derby est mort le 26 mai...

C'est inutile que vous vous essoufflez, c'est inutile de commencer les comptes à rebours ou de rêver à d'impossibles revanches le 22 septembre, le 9 février ou dans une hypothétique demi-finale de Coupe Italie : le derby n'existe plus, le derby est mort le 26 mai du 2013. Ce jour là avec ce match, est comme si on avait fermé une époque, ou mieux comme si le dernier paragraphe d'un livre de 86 ans, faites de batailles parfois épiques, de heurts dans et hors du rectangle vert, de grands héros et grandes pertes s'était refermé. Jamais en 86 ans il y avait eu un match comme celui du 26 mai : LE MATCH DES MATCHS, le rêve fou de chaque supporter de football en général et du romain en particulier. Quatre-vingt-dix minutes avec en jeu un trophée qui avait des significations qui allaient au-delà d'une simple coupe à mettre en vitrine ou à élever en visage des rivaux de toujours. Parce que ce qui s'est passé a été comme toucher le ciel du doigt, comme réaliser le rêve bercé d'une vie, comme sortir avec la femme que tous voudraient avoir. Et après avoir éprouvé quelque chose pareil, tout perd presque signification, rien ne pourra t'offrir les émotions et les sensations éprouvées à ce moment là.

Auparavant, le jour de la sortie des calendriers la première chose qu'on regardait c'était la journée où tombait le derby, date de l'allée et du retour, qui jouait le premier à la maison. Hier je n'ai pas regardé quand on jouait le derby, parce que pour moi ce mot a perdu de sa siginification. Elle m'a enlevé même cette anxiété mêlée à la gène qui accompagnait ce double rendez-vous saisonnier, qui en 1994 m'avait porté à dire qu'il suffisait , à n'aller au stade qu'à l'occasion des derbys. Cette gène et cette anxiété ont disparu, ce charme, le soir du 26 mai. Comme lorsque tu crains un verdict qui peut changer ta vie et autrefois arrivé on se sentait vidés. Tu te rends compte que depuis cet instant rien ne pourra te préoccuper comme ce fantôme qui s'est dissous. Il y aura d'autres défis importants, difficiles, décisifs. On jouera d'autres parties tendues et avec un objectif en jeu important, mais dorénavant ce seront de pures et simples parties. Parce que même pas en en gagnant dix de suite je n'éprouverais ce que j'ai éprouvé le 26 mai, parce même pas en en perdant dix de suite on m'effacera le sourire pour cette Coupe soulevé au visage d'un ennemi vaincu et invisible, parce qu'il avait abandonné le stade bien avant la remise des prix. Aucune victoire à l'avenir ne pourra déclencher le chambrage comme celui des 2 derniers mois, aucune défaite dans le futur ne pourra rayer le nom de Lulic, cette 71eme min entrée dans le légende, cette coupe au visage qui est devenue peinture sur les murs, posters, adhésifs, banderoles traînées d'avions.

Pour celà, laissons-le à eux ce mot derby vidé de signification. Le 22 septembre on jouera à l'Olimpico Roma-Lazio, une partie qui vaut 3 points comme celle contre Chievo ou contre Sassuolo, peut-être plus chargée en histoire parce que l'adversaire est plus important, mais il vaut autant qu'un Naples-Lazio, Milan-Lazio, Inter-Lazio et peut-être moins qu'un Juve-Lazio au programme le 1 septembre. Parce que l'unicité des sensations et des émotions de cette finale a tout rayé. C'est fini, il n'y à plus revanche, il n'y a pas plus derby. Au moins pour nous. Pour vous qui êtes mal depuis deux mois et que vous rêvez d'un rachat impossible, peut-être que ce mot a encore un sens. Pour nous non, donc nous vous le laissons volontiers. Pour nous le derby est est mort le 26 mai et à partir de cet événement rien ne sera plus comme avant.

+ 1

Romanista35 a écrit:: ça montre bien surtout leur syndrome d'infériorité qu'ils ont envers nous...

Si on avait gagné la finale, on aurait jamais parlé de "le derby n'existe pu" on aurait dit qu'on va les re-dézinguer le 22 septembre. Et qu'on va continuer à accroitre notre supériorité historique sur eux...

"peuple" de frustrés...

je maintiens mon idée mais ce que tu dis est tout aussi vria

Selon sky, Mauri prend six mois et la Lazio doit payer 40 0000 euro d'amande

Oui sentence est tombée.

Yassine a écrit:: C'est fini, il n'y a plus de revanche, le derby est mort le 26 mai...

C'est inutile que vous vous essoufflez, c'est inutile de commencer les comptes à rebours ou de rêver à d'impossibles revanches le 22 septembre, le 9 février ou dans une hypothétique demi-finale de Coupe Italie : le derby n'existe plus, le derby est mort le 26 mai du 2013. Ce jour là avec ce match, est comme si on avait fermé une époque, ou mieux comme si le dernier paragraphe d'un livre de 86 ans, faites de batailles parfois épiques, de heurts dans et hors du rectangle vert, de grands héros et grandes pertes s'était refermé. Jamais en 86 ans il y avait eu un match comme celui du 26 mai : LE MATCH DES MATCHS, le rêve fou de chaque supporter de football en général et du romain en particulier. Quatre-vingt-dix minutes avec en jeu un trophée qui avait des significations qui allaient au-delà d'une simple coupe à mettre en vitrine ou à élever en visage des rivaux de toujours. Parce que ce qui s'est passé a été comme toucher le ciel du doigt, comme réaliser le rêve bercé d'une vie, comme sortir avec la femme que tous voudraient avoir. Et après avoir éprouvé quelque chose pareil, tout perd presque signification, rien ne pourra t'offrir les émotions et les sensations éprouvées à ce moment là.

Auparavant, le jour de la sortie des calendriers la première chose qu'on regardait c'était la journée où tombait le derby, date de l'allée et du retour, qui jouait le premier à la maison. Hier je n'ai pas regardé quand on jouait le derby, parce que pour moi ce mot a perdu de sa siginification. Elle m'a enlevé même cette anxiété mêlée à la gène qui accompagnait ce double rendez-vous saisonnier, qui en 1994 m'avait porté à dire qu'il suffisait , à n'aller au stade qu'à l'occasion des derbys. Cette gène et cette anxiété ont disparu, ce charme, le soir du 26 mai. Comme lorsque tu crains un verdict qui peut changer ta vie et autrefois arrivé on se sentait vidés. Tu te rends compte que depuis cet instant rien ne pourra te préoccuper comme ce fantôme qui s'est dissous. Il y aura d'autres défis importants, difficiles, décisifs. On jouera d'autres parties tendues et avec un objectif en jeu important, mais dorénavant ce seront de pures et simples parties. Parce que même pas en en gagnant dix de suite je n'éprouverais ce que j'ai éprouvé le 26 mai, parce même pas en en perdant dix de suite on m'effacera le sourire pour cette Coupe soulevé au visage d'un ennemi vaincu et invisible, parce qu'il avait abandonné le stade bien avant la remise des prix. Aucune victoire à l'avenir ne pourra déclencher le chambrage comme celui des 2 derniers mois, aucune défaite dans le futur ne pourra rayer le nom de Lulic, cette 71eme min entrée dans le légende, cette coupe au visage qui est devenue peinture sur les murs, posters, adhésifs, banderoles traînées d'avions.

Pour celà, laissons-le à eux ce mot derby vidé de signification. Le 22 septembre on jouera à l'Olimpico Roma-Lazio, une partie qui vaut 3 points comme celle contre Chievo ou contre Sassuolo, peut-être plus chargée en histoire parce que l'adversaire est plus important, mais il vaut autant qu'un Naples-Lazio, Milan-Lazio, Inter-Lazio et peut-être moins qu'un Juve-Lazio au programme le 1 septembre. Parce que l'unicité des sensations et des émotions de cette finale a tout rayé. C'est fini, il n'y à plus revanche, il n'y a pas plus derby. Au moins pour nous. Pour vous qui êtes mal depuis deux mois et que vous rêvez d'un rachat impossible, peut-être que ce mot a encore un sens. Pour nous non, donc nous vous le laissons volontiers. Pour nous le derby est est mort le 26 mai et à partir de cet événement rien ne sera plus comme avant.

Est-ce qu'etre quasiment d'accord avec ce texte fait de moi un Laziale parce qu'il n'a pas tord le bougre ..! Neutral

Cyril a écrit:: Oui sentence est tombée.

et quoi de l'EL ?

Rien du tout.