Les news : Le carnet de note (brouillon)

Je me permet d'ouvrir un sujet. Etant donné que je travaille l'aprem, je peux pas faire des articles complet d'un trait et le seul moyen de sauvegarder mon travail c'est de poster, pendant mes pauses. Et comme j'ai pas vu de catégorie "brouillon", j'en crée une.

Curci, Guberti, Sini, Bertolacci, Stoian, Scardina, Pettinari, Crescenzi. Voilà les joueurs dont je suis sur qu'ils soient en prêt.

Si quelqu'un pouvait m'éclairer sur les statuts de Della Pena, Unal, Esposito, Zarineh et Frasca, sur le prêt de Brosco et sur les autres joueurs en prêt, j'en serais reconnaissant. Merci d'avance.

Vu que ce topic ne sert pas trop j'ai décidé de le renommer pour l'utiliser dans un autre but.

Ca serait bien enfaite quand en lisant vous voyez des fautes d'orthographes, de grammaire ou de traductions de le mettre ici.
Comme ça ça évite à la personne concerné de ne pas refaire la même faute plusieurs fois et ça peut servir aux autres personnes aussi, je pense notamment au vocabulaire du football que l'on retrouve très souvent.

Je commence avec un mot traduit que j'ai vu à plusieurs reprises c'est :
-Cyniques, dans le contexte il vaut mieux dire "réalistes" (giulianooo j'ai vu que tu avais mis le mot réalistes juste après donc çava ^^)

Voila j'espère que ça sera pas mal pris, c'est fait pour améliorer la qualité des news, et je sais que je fais aussi des fautes Smile

Par exemple moi qui parle peu italien (même si je le comprend), donc ce topic peut aussi servir à ce que les gens posent des questions pour savoir comment traduire un mot ou une phrase à ceux qui le parlent couramment ^^

Bonne idée, ça peut toujours servir.

Giuliano:

Partita da vincere = match à gagner et non pas partie à vaincre.

Peccato (dans ce cas-ci ) = dommage et non pas Péché

Lo spogliatoio e compatto = le vestiaire est uni et non pas "le vestiaire est compact"

Il n'est pas un instant facile par rapport aux media = il veut en réalité dire "nous vivons un moment difficile à cause des médias".

Tu peut corriger ces erreurs s'il te plait ? Merci d'avance Wink

!

C'est moi pas giulianooo ^^

Par quoi tu traduits Battuta ? dans le contexte je dirais sourire, rigoler... (vu qu'on a vu Totti rigoler quand on perdait).

Je n'ai pas rédigé cet article.

Romanista35 a écrit:: Par quoi tu traduits Battuta ? dans le contexte je dirais sourire, rigoler... (vu qu'on a vu Totti rigoler quand on perdait).

Una battuta c'est "une feinte" (en Belge ça veut dire une blague Mr.Red

) sinon battuta ça veut dire battue (au féminin)

Antoine j'ai corrigé pas mal de fautes d'orthographes (très grossières) que t'a fait dans ton article "pourquoi Rome ..."

"on s'est pertinemment" ----> S'est c'est le verbe être, pas le verbe savoir ----> On sait pertinemment.

"c'est polémiques paraissent non seulement excésives" ----> Ces polémiques paraissent non seulement excessives.

"es-ce vraiment ..." -----> est-ce

"si l'on aime pas ..." -----> "si l'on N'aime pas (on marque la négation.)

Comme ça sera pas facile de trouver des photos pour les première conférence de Montella, voici 2 photos :

Les news : Le carnet de note (brouillon) Montel10

Les news : Le carnet de note (brouillon) Montel10

Les news : Le carnet de note (brouillon) Montel11

J'ai décidé, pour le nouveau site, et après discussion préalable avec Antoine, de créer un texte, qui sera inclu dans la future page d'acceuil.
Cette partie concernera l'histoire de notre équipe, nos plus grand joueurs, etc... Je ne sais pas si ntoine peut reposter la photo afin de vous montrer à quoi celà ressemblera, pour ceux qui n'aurait pas fait attention.
Je vais commencer par faire un petit récapitulatif de tout les présidents, entraineurs, joueurs qui ont laissés une empreinte indélibile dans la capitale, le tout en quelques lignes pour chacun.
Rien n'est urgent, étant donné qu'il s'agit de le publier dans la nouvelle version du site, donc toute aide ou avis est le bienvenue.

Les grands présidents

Italo Foschi, le premier président
Les news : Le carnet de note (brouillon) Foschi10

Né le 7 mars 1884 à Corropoli, ce grand sportif ( lutte greco romaine et calcio ), mais également politicien, s'investi dans la FIGC ( FEDERAZIONE ITALIANA GIOCO CALCIO ), avant de participer activement à la fusion des clubs romains amenant à la naissance de l'AS Roma. Il en fut le premier président, jusqu'en 1928. Il déceda à Rome, le 20 mars 1949.

Edgardo Bazzini, le président du premier scudetto
Les news : Le carnet de note (brouillon) Bazzin10

Ancien fonctionnaire d'Agip, ce parmesan, né en 1867, fut le premier président giallorosso à soulever le scudetto. Il fut à la tête du club de 1941 à 1943. Il disparu en 1969, à l'âge de 102 ans.

Dino Viola, le grand président du second scudetto
Les news : Le carnet de note (brouillon) Viola11

Le natif d'Aulla ( Toscane ) fut, en compagnie de Franco Sensi, l'un des plus grands président de l'histoire romanista. Il dirigea l'équipe qui remporta le scudetto de 1983 et qui fut vice championne d'Europe la saison suivante. Les études obligeant, il rejoignis la ville étenelle dans les années 30. Il devint l'homme fort giallorosso le 16 mai 1979. Son nom est encore associé à ceux de la grande Roma des années 80, et des Conti, Di Bartolomei, Pruzzo, Falcao, etc... Dino s'en alla le 19 janvier 1991, des suites d'une grande maladie. Tout en laissant une trace indélibile dans le coeur de la tifoseria chère à son coeur.

Franco Sensi, le président tifoso du troisième scudetto
Les news : Le carnet de note (brouillon) Sensi11

C'est l'histoire d'un homme, né à Rome, mort à Rome, qui avait le sang giallorosso. Franco Sensi vit le jour dans la ville éternelle le 29 juillet 1926, soit un an avant la fondation du club qu'il aimera tant plus tard. Il en devint en 1993, à une époque ou l'AS Roma rencontre des difficultées sur le terrain. Au fil des ans, l'équipe grandit de manière à devenir magnifique. En 2001, le club giallorosso remporta son troisième et dernier scudetto. Pour y parvenir, le président Sensi s'entoura de joueurs au talent confirmé, comme Aldair, Cafu, Tommasi, Delvecchio, Batistuta, Montella et par dessus tout, celui qui deviendra le plus grand joueur de l'histoire du club, Francesco Totti. S'en suivirent de très belles saisons, ou la Roma enchaina les podiums en championnat et les victoires en coupe. Franco Sensi dit adieu à sa ville de toujours le 17 aout 2008. Un " ciao " et non pas un au revoir, pour celui qui maniait à la perfection la " romanaccia " .

Le palmarès

*La scène nationale

Championnat d'Italie (3)
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Champion: 1942, 1983; 2001
Vice-champion: 1931, 1936, 1981, 1984, 1986, 2002, 2004, 2006, 2007, 2008 et 2010.

Coupe d'Italie (9)
Les news : Le carnet de note (brouillon) Coppa-italia

Les news : Le carnet de note (brouillon) Coppa-italia

Vainqueur : 1964, 1969, 1980, 1981, 1984, 1986, 1991, 2007 et 2008
Finaliste : 1937, 1941, 1993, 2003, 2005, 2006 et 2010

Supercoupe d'Italie (2)
Les news : Le carnet de note (brouillon) SupercoppaItaliana

Les news : Le carnet de note (brouillon) SupercoppaItaliana

Vainqueur : 2001 et 2007
Finaliste : 1991, 2006, 2008 et 2010

La scène internationale
Ligue des champions

Finaliste : 1984

Coupe UEFA
Les news : Le carnet de note (brouillon) Photocrop

Finaliste : 1991

Coupe des villes de foires (1)
Les news : Le carnet de note (brouillon) Coupe

Vainqueur : 1961.

Coupe des Alpes (1)
Les news : Le carnet de note (brouillon) Coupe

Vainqueur : 1960

Les équipes de jeunes:
FIFA Youth Cup - Championnat du monde Juniors (1)
Les news : Le carnet de note (brouillon) Fifa

Vainqueur : 2003

Championnat d'Italie Primavera (8 )
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Champion : 1960, 1961, 1973, 1974, 1978, 1984, 1990 et 2005

Coupe Italia Primavera (3)
Les news : Le carnet de note (brouillon) Coppa-italia

Vainqueur : 1974, 1975 et 1994

Championnat d'Italie Allievi (5)
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Champion : 1928, 1983, 1993, 1999 et 2010

Championnat d'Italie Giovanissimi (4)
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Champion : 1987, 1996, 1999 et 2007

Coupe Italia Nike - Giovanissimi (5)
Les news : Le carnet de note (brouillon) Coppa-italia

Vainqueur : 1999, 2000, 2001, 2002 et 2007

Motovelodromo Appio (1927-1929)
Les news : Le carnet de note (brouillon) Motovelodromo_appio

Ce stade fût le premier a accueillir des rencontres de l'AS Roma. Le club de la louve y évolua de 1927 à 1929. L'AS Roma y joua pour la première fois le 25 septembre 1927 face à Livourne (victoire 2-0). Pour la petite histoire le match débuta avec une heure de retard, à cause de l'envasement du camion citerne sur le terrain, obligeant les pompiers à intervenir. Comme son nom l'indique, ce stade d'environ 10 000 places était avant tout un Vélodrome.

Camp Testaccio (1929-1940)
Les news : Le carnet de note (brouillon) Campotestaccio

Le Campo Testaccio était un stade de football, où l'AS Roma évolua du 3 novembre 1929 (AS Roma 2-1 Brescia) jusqu'au 30 juin 1940 (AS Roma 2-1 Livourne). Ce stade accueilli 161 rencontres (103 victoires, 32 nuls et 26 défaites).
Ce stade fût conçu par l'esprit de Silvio Sensi, père de Franco, du président du troisième scudetto romanista, sur modèle des stades anglais (Everton en particulier). Il avait quatre tribunes en bois vernis avec les couleurs de l'équipe, le jaune et rouge. Il était doté d'une capacité de 20 000 spectateurs et d'un terrain en herbe (chose rare à cette époque) large de 70 mètres. Pour la petite histoire les dimensions de l'aire de jeu pouvaient être allongés ou raccourcis en fonction de l'adversaire rencontré, sans encourir de sanctions disciplinaires (le minimal fédéral étant de 60 mètres).

Le stade est célèbre parmi les tifosi de l'équipe giallorossa du à cette période de l'histoire. Celle des premières rencontres de l'AS Roma et de l'étroit lien entre les tifosi et les joueurs, dont lorsque ces derniers descendaient sur le terrain affrontaient les adverses avec grand caractère. C'est d'ici que nait le surnom, utilisé irrégulièrement encore aujourd'hui, de Roma testaccina : une équipe de caractère et avec du coeur en mesure de battre n'importe quel adverse, comme l'imbattable Juventus des années trente, battu avec un sanglant 5-0. Après la dernière rencontre, le stade fut abattu le 21 octobre 1940.

Stadio Nazionale del P.N.F (1940-1953)
Les news : Le carnet de note (brouillon) Pnf

Le Stadio Nazionale del PNF (Stade national du Partie National Fasciste) fut construit en 1911 et avait une capacité de 50 000 personnes. Il accueilli trois des 17 matches de la Coupe du monde de football de 1934, dont la finale entre l'Italie et la Tchécoslovaquie le 10 juin 1934.
L'AS Roma y évolua de 1940 jusqu'à 1953 (tout comme son voisin laziale), avant de rejoindre ensuite le Stadio Olimpico.
Le stade est démoli en 1953 et remplacé par le Stadio Flaminio.

Stadio Olimpico (1953-201?)
Les news : Le carnet de note (brouillon) 5010652_l

Le Stadio Olimpico devient en 1953 le stade où l'AS Roma disputera tous ses matchs à domicile. Le stade fût inauguré le 17 mai 1953 avec une rencontre opposant l'Italie et la Hongrie. Le Stadio Olimpico est la propriété du comité national olympique italien. Le stade connaît plusieurs liftings, en 1953 notamment et à l'occasion de la Coupe du monde 1990. Le Stadio Olimpico devient ainsi le premier stade d'Italie en termes de places disponibles, devant le Stadio Giuseppe Meazza, avec une capacité de 82 656 spectateurs. En plus de cela, il fait également partie des deux stades italiens évalués par l'UEFA au rang de stades cinq étoiles. En raison de la finale de la Ligue des champions 2009, le stade se voit réduire sa capacité de 9 758 places pour assurer une meilleure sécurité.

L'AS Roma partage ce stade avec son ennemi de toujours, la Lazio. Cependant aucun des deux clubs n'est propriétaire du Stadio Olimpico, et ils doivent même chacun payer un loyer annuel au comité olympique italien.

Le 29 septembre 2009, Rosella Sensi, en présence du maire de Rome, Gianni Alemanno, a présenté le projet du futur stade Franco Sensi de l'AS Roma, à une capacité portée à 55 000 places. En effet, au fil des saisons l'affluence moyenne du stade ne cesse de baisser, pour atteindre actuellement guerre plus que 35 000 spectateurs de moyenne. Rosella Sensi parti, les américains arrivés, ils devraient prendre le relai de ce projet, avec un stade plus fonctionnel (à l'américaine) qu'il espère construire en 3 ans (à partir de la première pierre posé). Ce nouveau stade est la base du projet de relance du merchandising du club de la louve.

Parfait, fais juste attention Antoine à la date de Roma Livourne au motovelodromo Appio Smile

Centro Sportivo Fulvio Bernardini (1977-201?)
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Fulvio Bernardini est le centre sportif de l'Association Sportive Roma, ainsi que le siège social du club.

Situé à Trigoria (au sud-ouest de Rome), il fut acquis par Gaetano Anzalone, quinzième président du club, le 22 Juillet 1977 et inauguré le 23 Juillet de l'année suivante, en remplacement du précédent situé au Circo Maximus. Son coût global a été de 2 milliards de lires (soit un peu plus d'1 million d'euro), et il fut restructuré par Dino Viola en 1984, grâce aux fonds obtenus du premier sponsor officiel, Barilla.

Le centre s'étend sur vingt hectares de terrain et dispose de sept terrain de football réglementaires (dont celui composé d'une tribune dénommé « Campo Testaccio », en honneur de l'historique stade homonyme). Le centre est composé de quatre bâtiments reliés entre eux et entourés d'un ruisseau artificiel.
-Le bâtiment central est divisé en trois et dispose de 26 chambres : au premier plan on trouve les bureaux du centre de formation et la billetterie ; dans la seconde, la salle du conseil avec tous les trophées conquis ; dans la troisième la chambre du président et du secrétariat du club.
-Le second bâtiment, par ordre de grandeur est celui réservé aux joueurs : il comprend le centre médical, avec les locaux de la physiothérapie et de réhabilitation, le gymnase et bain turc ; les vestiaires pour l'équipe, pour l'entraîneur et le magasinier. A l'étage, il y a 18 chambres doubles pour accueillir les footballeurs.
-Le troisième est affecté au bar et restaurant, qui donne sur la piscine ; à l'étage se trouve 7 chambres doubles, prêtes à accueillir les garçons du centre de formation, et une salle viédo.
-Le dernier bâtiment, réalisé en 1998 par Franco Sensi, contient le siège de la revue officielle LaRoma, de la chaîne de télévision Roma Channel, la salle de conférence de presse et la Chapelle Salus populi romani (dédiée au Pape Jean Paul II) qui fût inaugurée pendant le jubilé de 2000.

Le 13 janvier 1984, le centre fût renommé Fulvio Bernardini, suite à la mort de l'ancien capitaine giallorosso des années trente et entraîneur de la saison 1949-1950.
La place qui fait face à l'entrée du centre sportif, suite à une pétition du groupe ultras XXI Avril et du journal Il Corriere dello Sport, a été intitulée place Dino Viola, le 19 janvier 1995.

Giualianooo peux-tu faire ce week end les joueurs et entraineurs qui ont marqué le club ? (comme t'as fais pour les présidents).

Limite toi à genre 10 joueurs et 5-6 entraineurs.

L'historique
Les news : Le carnet de note (brouillon) Ligne10

Tout commence en mai 2005. A cette époque, un seul forum de l'AS Roma dominait le monde francophone : Vlegion. Ce forum créé par un italien (Giovanni) a vu de nombreux membres CSR y faire leurs dents de lupetti. Oui mais voila, ce forum connait quelques problèmes et semble au bord de l'implosion. C'est alors que Jonas décide de créer son propre forum, avec son bras droit Jimmy (Giallorossi25). Et pendant que la Vlegion est sur la pente descente l'histoire Cesololaroma début le 25 mai 2005. Un forum qui passera son premier été avec seulement une dizaine de membres, où nous pouvons d'ailleurs remercier les vieux de la vieille qui nous ont quitté pour diverses raisons. Alors que quelques mois plus tard le forum Vlegion ferme définitivement, la CSR va elle petit à petit connaitre une évolution fulgurante.

C'est en 2007 que la communauté CSR fait le pas d'ouvrir son site, en plus du forum. C'est donc pendant environ 2 années que vous pouvez découvrir quotidiennement les informations sur l'AS Roma. En fin 2008, le site semble se tuer petit à petit. Les membres n'ont plus forcément le temps et la motivation de s'y investir. Et donc en janvier 2009 est fait le choix de fermer la partie site, pour conserver à flot le forum et ne pas voir la mort de CSR.

Cette année 2009 sera certainement la plus dur de ses 6 années. Notamment du à une saison compliquée. Certaines tensions sur le forum auraient pu causer la mort de CSR, mais comme toujours cette communauté montra qu'elle est une vraie famille. Et pour remobiliser tout le monde, pour ré-offrir ses lettres de noblesses à Cesololaroma, certains membres décident de présenter un vrai plan de relance, que ce soit pour le forum, tout comme pour la réouverture du site. Ce projet approuvé par la quasi totalité de l'équipe CSR est le début du retour de CSR sur le devant de la scène, et sans le savoir son âge d'or.

En effet, le site réouvre ses portes en janvier 2010 pour le plus grands bonheurs de tous, avec une équipe reboosté à fond. C'est alors que tout va s'accélérer. Des interviews à gogo : Didier Mengo, Louis Dieme, Ricardo Faty, le groupe ultra' Royalist, le site ultra asromaultras.it, Carlo Zampa, le joueur de la Primavera Pigliacelli, John Arne Riise, et enfin le site CoreDeRoma. Cesololaroma possède également depuis presque un an son hymne créé par Andrea Taloni (alias Cantautore Giallorosso) et son écharpe (sortir à 95 exemplaires). De nombreux déplacements ont également été organisés permettant à de nombreux membres de pouvoir enfin se rencontrer : à Gent, à Turin, pour le derby, AS Roma-Atalanta, à Bale, à Munich, à Milan, ou encore dernièrement pour le Tournoi de Paris.

C'est donc au lendemain de ces 6 années de vie, que Cesololaroma vous offre une nouvelle version du site, qu'elle espère innovatrice, et permettant aux lecteurs de plus s'y identifier.
Un grand merci à tous les membres qui ont été là au tout début, à ceux qui sont toujours là, aux presque 1 000 membres identifiés sur le forum, ainsi qu'à tous les lecteurs du site et ses rédacteurs.

LES GRANDS ENTRAINEURS

William Garbutt, le premier entraineur
Les news : Le carnet de note (brouillon) Garbut10

Né le 9 janvier 1883 dans la région de Stockport, l'Anglais William Garbutt devint en 1927 le premier mister de l'AS Roma. Il remporte une coupe CONI en 1928, un an avant de quitter la capitale. Il décéda dans son pays natal en 1964.

Alfred Schaffer, l'entraineur du premier scudetto
Les news : Le carnet de note (brouillon) Schaff10

Cet ancien attaquant professionel hongrois vit le jour à Bratislava, en 1893 et devint entraineur de la Roma en 1940, deux ans avant de remporter le premier scudetto du club. Il quitta le club giallorosso sur ce fait d'arme. Il disparu trois ans plus tard.

Nils Liedholm, le génie suédois du second scudetto
Les news : Le carnet de note (brouillon) Liedho10

L'entraineur suédois Nils Liedholm est , au même titre que son président Dino Viola, un grand nom de la Roma des années 80. Les Conti, Di Bartolomei, Falcao and co était emmené par un grand mister, qui rapporta dans la capoitale giallorossa un scudetto tant attendu. Le technicien scandinave vit le jour en 1922. Il fit du football son métier, évoluant nottament à l'AC Milan. Il en devint également entraineur avant de rejoindre la ville éternelle en 1973. Le mister fit des allers retours entre Rome et Milan jusqu'en 1988. Il emmena, en 1984, l'AS Roma en finale de la ligue des champions, s'inclinant aux TAB devant Liverpool. Il nous quitta en 2007.

Fabio Capello, le mister du scudetto 2001
Les news : Le carnet de note (brouillon) Capell10

Le saviez vous? Avant d'être entraineur de la Roma, Fabio Capello porta le maillot giallorosso pendant deux ans, de 1967 à 1969! Un passage anonyme comparé au fabuleux résultat obtenu en tant que technicien, scudetto et supercoppa à l'appui. Un coach à la discipline de fer, menant une équipe magnifique composée des Totti, Montella, Batistuta, Cafu, Aldair et compagnie. Un tumultueux passage à la Juventus, brisant le coeur et l'estime de ses tifosi, cloturera la période Capello à la Roma. Mais quelle belle période.

Luciano Spalletti, le record et la " bella Roma "
Les news : Le carnet de note (brouillon) Spalle10

SS Lazio - AS Roma, saison 2005 - 2006. Il ne manque qu'une victoire aux giallorossi pour battre le record de victoires consécutives en série A. Privée de son capitaine Francesco Totti, gravement blessé, les lupi s'imposent 2 à 0 et offrent à tout un peuple un record historique. Ces images de joie et d'exploit se reproduiront, à Madrid, Lyon, face à l'Inter, Chelsea, Milan. Deux coppe d'Italia et un titre de vice champion plus tard, le technicien s'en ira vers d'autres horizons. En restera une image, celle de la " bella Roma ", enchantant les tifosi, spéciaslistes et amateurs du ballon rond, grace à un jeu gracieux et plein d'audace.

Claudio Ranieri, l'honneur et la detresse
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Gênes, février 2011. Claudio Ranieri jette l'éponge, abandonné une fois de plus par un vestiaire désuni. Le mister romain, de sang et de coeur, laissera l'armoire à trophées vide. Mais n'oublions pas les matchs sans défaite en 2010, la remontée sur l'Inter qui fit vibrer les romanisti du monde entier. Et les quatre derby de suite, une première!

Les grands joueurs

Fulvio Bernardini, " il dottore "

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Cet ancien joueur de la Lazio devint giallorosso en 1928, devenant par la suite capitaine de la " squadra romanista ", et restera dans l'esprit des tifosi comme étant un des symbole de cette Roma " testaccina " si populaire. Il quitta la capitale 286 matchs plus tard, en 1939, avant de revenir en tant qu'entraineur, en 1949. Le centre d'entrainement de Trigoria porte son nom en son hommage.

Attilio Ferraris, le champion du monde 1934

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Le grand milieu de terrain romain évolua dans l'entrejeu giallorosso de 1927 à 1934, remportant la coupe du monde cette dernière année. Le milieu de terrain revena dzns son club de coeur en 1939, pour finir sa carrière " à la maison " . Attilio Ferraris disputa 225 matchs sous le maillot de l'AS Roma.

Rodolfo Volk, " Sigghefrido "

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La Roma connue Vincenzo Montella, Roberto Pruzzo, mais bien avant, elle fut emmenée par une pointe hors du commun, un certain Rodolfo Volk. Un " bomber " capable de débloquer n'importe quelle situation, n'importe quand. 5 ans sous le maillot giallorosso, 157 matchs, 91 buts. Beau parcours non?

Amedeo Amadei, " il fornaretto "

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Pour tout romanista qui se respecte, Frascati est synonime de bon vin, mais rime aussi avec Amedeo Amadei. Le jeune attaquant débuta en pro à l'âge surprenant de 15 ans, en 1936. Il joua six match jusqu'en 1938, inscrivant un but. Un an à l'Atalanta, puis le revoilà! De 1939 à 1948, le bomber participa à 228 matchs, inscrivant 115 buts. Amedeo détient encore à ce jour le record du plus jeune joueur et buteur de série A. Ne doutons pas qu'il soit encore longtemps dans le coeur des tifosi.

Giacomo Losi, " core di Roma "

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Classe, courage, amour du maillot. Ces trois mots, parmi tant d'autres, caractérisent parfaitement le comportement sur le terrain du mythique Giacomo Losi dit " core di Roma ", surnom obtenu suite à son but inscrit, le tête bandée. Evoluant en giallorosso de 1954 à 1969, celui qui fut pendant longtemps le recordman de présence avec la Roma disputa 386 matchs, inscrivant deux buts. Le défenseur restera à tout jamais un joueur historique du club de la capitale.

Agostino Di Bartolomei, " Ago "

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Comment parler de l'AS Roma sans évoquer son grand capitaine des années 80, Agostino Di Bartolomei. Un homme amoureux de son club, de sa ville, mais meurtri par un divorce douloureux l'emmenant au Milan AC. Ago remporta le scudetto en 1983, mais échoua en finale de ligue des champions un an plus tard. Une blessure immense dans le coeur du capitaine d'une des plus belles équipes de l'histoire giallorossa. Agostino Di Bartolomei se donna la mort le 30 mai 1994, dix ans jour pour jour après la finale perdue. Comme l'écrivit un jour la curva sud " Aucune parole, seulement une place au fond du coeur ". En effet, Ago vit toujours dans les coeurs giallorossi.

Falcao, " ottovo re di roma "

" Un joueur universel ", " un entraineur sur le terrain " . Voici les qualificatifs émis par les joueurs romains des années 80 à l'évocation de leur coéquipier brésilien Falcao. Faisant parti de la magnifique Roma de l'ère Viola, Paulo Roberto Falcao laissera une empreinte indélibile dans la capitale, grace à un jeu hors du commun. 107 matchs et 22 buts seront à créditer au milieu central auriverde.

Bruno Conti, " sindaco di Roma "

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Bruno Conti, mythique n° 7 de la Roma, est ce qu'on peut appeller une " bandiera " . Une carrière dédiée au maillot giallorosso, une technique, une classe qui firent de lui l'un des artisans du scudetto 1983 et du titre de champion du monde de l'Italie en 1982. Aujourd'hui dans le staff romanista, l'ex fuoriclasse continue de prouver son attachement à la capitale, lui, l'enfant de Nettuno.

Giuseppe Giannini, " il principe "

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Un prince. Un joueur plein de grace, de technique, qui officia sous le maillot giallorosso de 1981 à 1996. Il reste encore à nos jours un des plus grands capitaine du club. Manque seulement à son palmarès un titre acquis à son firmament, Giuseppe étant encore un " lupetto " lors du scudetto 1983. Qu'importe, le prince de la ville aura marqué son club.

Francesco Totti, " C'e solo un capitano "

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Un mythe, une légende. Le plus grand joueur de l'histoire giallorossa. Le petit gars de Trastevere est aujourd'hui le plus digne représentant, et la plus grande fierté de tous les tifosi de la magica, de Rome, d'italie ou d'ailleurs. Depuis 1993, " il nostro capitano " contribue à faire de la ville éternelle un lieu à part, à faire de la Roma un club hors du commun. Malgrès les années, Francesco Totti continue de nous faire rêver. Et pour celà, nous pouvons lui dire " Grazie ".

L'histoire de la Roma

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Au début du XXème siècle, le calcio à Rome se voit représenté par une multitude de club, représentant chacun un quartier et une opinion politique bien distincte. Dans les années 1920, huit équipes continue à se battre dans le championnat régional: S.S. Alba, C.R. Juventus Audax, S.G.S. Fortitudo, S.S. Lazio, S.S. Pro Roma, U.S. Romana, Roman F.C. et C.S. Audace. L'équipe de la capitale est constituée le 7 juin 1927, mais voit officiellement le jour le 27 juin, dans les locaux de la via Uffici del Vicario, grace à la fusion de cinq clubs romains. Cette fusion fut désirée par le secrétaire de la fédération romaine du parti national fasciste et membre du comité olympique national italien, Italo Foschi. Une fusion ayant le but de créer une équipe pouvant représenter dignement la ville de Rome et la classe populaire vivant dans la capitale.

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Au début des années 1930, la Roma occupe avec stabilité le haut du classement, participant nottamant à la coppa Mitropa en 1931. Les protagonistes de cette période furent nombreux, en plus d'être talentueux. Parlons du capitaine Attilio Ferraris, le gardien de but Guido Masetti, le milieu de terrain Fulvio Bernardini et l'avant centre Rodolfo Volk. En 1934, le président eanto Sacerdoti rennove l'équipe : adieu Volk et le capitaine Ferraris, bonjour à trois argentin, dont un certain Enrico Guaita. L'équipe réalisa un très bon exercice 1935 - 1936, échouant aux portes du scudetto.

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Le club giallorosso remporta son premier scudetto lors de la saison 1941 - 1942, en étant sacré lors de la dernière journée par une victoire face à Modène, 2 à 0. Ce titre est le fruit, entre autres, de l'entraineur Alfred Schafer et du jeune attaquant Amedeo Amadei, auteur de 18 buts. Paradoxalement, le club connaitra des années difficiles par la suite.

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La saison 1950 - 1951 sera une année noire pour la Roma, puisqu'elle goutera pour la première fois à la descente en série B, la faute à un nombre trop important de défaite et aux multiples changements d'entraineurs. Le 17 juin 1951 sera fatal au club de la louve, neuf ans jour pour jour après le scudetto. L'expérience du purgatoire ne durera fort heureusement que peu de temps, la magica étant immédiatement promue en série A. Cette mauvaise expérience oubliée, de très bons joueurs viendront relancé le club, à l'instar d'Alcides Ghiggia, Dino Da Costa et le mythique Giacomo Losi, qui sera pendant de longues décennies le recordman d'apparitions sous le maillot giallorosso.
Pas de trophée jusqu'en 1961, année ou l'AS Roma remporte la coupe des villes de foire, ancêtre de l'actuelle Europa league, face à Birmingham. Après un match nul 2 - 2 en terre anglaise, les romains forcent la décision à l'Olimpico, grace à une victoire 2 - 0. Giacomo " core di Roma " Losi peut donc soulever le premier trophée européen du club de la capitale.

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Deux victoires en coupe d'Italie viendront s'ajouter dans les années suivantes. La première face au Torino en 1964, la seconde cinq ans plus tard, face à Foggia.
Les années 70 seront des années difficiles pour le club giallorosso, qui réussira tout de même à atteindre les demi finales de la coupe des coupes 1970. La décennie suivante sera beaucoup plus glorieuse.

Les années 1980 riment avec Dino Viola et Nils Liedholm, deux hommes qui écriront les lettres de noblesse du club romanista. L'année 1980 voit la Roma remporter la coupe d'Italie, face au Torino, aux tirs aux buts. Le club sera vice champion d'Italie une saison plus tard. L'équipe du technicien suédois remportera ce scudetto tant attendu en 1983. Cette Roma championne est emmenée par de grands joueurs, qui laisseront une trace indélibile dans le coeur des tifosi : Agostino Di Bartolomei, Bruno Conti, Falcao, Carlo Ancelotti, Pietro Vierchowod, Franco Tancredi, Roberto Pruzzo. Le titre arrivera le 8 mai 1983, suite à un match nul sur le terrain du Genoa.

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La saison suivante, la Roma remporta sa cinquième coupe d'italie et s'inclina aux tirs aux buts en finale de ligue des champions, face à Liverpool, sur le terrain du stadio Olimpico. Les deux équipes ne purent se départager dans le temps réglementaire, malgrès l'égalisation de Pruzzo. C'est donc dans cette triste séance de tirs aux buts que la coupe pris la direction de l'Angleterre, Conti et Graziani ratant leurs tentatives.

Sven Goran Eriksson, un autre technicien scandinave, pris le relais de son compatriote sur le banc giallorosso. Le club remporta sa sixième coupe d'Italie en 1986, tout en frolant un troisième scudetto, après une folle remontée sur la Juventus. Les années passent, et en 1991, la Roma remporte sa septième " coppa ", en battant les champions d'Italie de la Sampdoria, peu de temps après le déces du mythique président Viola. Parmi les protagonistes de cette victoire : le capitaine Giuseppe Giannini, Aldair, Ruggerio Rizzitelli et Rudy Voeller.

Il faudra attendre 1993 pour voir un président digne de ce nom : Franco Sensi. Les années 90 sonnent creuse spour la magica, malgrès le recrutement de joueurs de qualités : Abel Balbo, Amedeo Carboni, Vincent Candela, Cafu, Marco Delvecchio. La dernière décennie du vingtième siècle rimera avec les débuts du plus grand joueur de l'histoire romanista, Francesco Totti.

Les années 2000 seront un virage dans l'histoire giallorossa. Fabio Capello est intronisé entraineur, et voit l'arrivée d'une pointe qui fera peur à toutes les défenses d'Italie, Vincenzo Montella. La Lazio, l'ennemi jurée du club de la capitale, remporte le championnat en 2000. Afin de rendre le scudetto à la ville de Rome, mais du coté giallorosso, le président Sensi casse la tirelire afin de faire venir des joueurs capable d'emmener la Roma au sommet. Batistuta, Emerson, Samuel, Nakata viendront s'ajouter à l'armada de 2001. Une équipe qui décrochera son troisième scudetto le 17 juin 2001, face à Parme, le tout d'un Olimpico volcanique.

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Le scudetto est à créditer sur le compte d'une défense solide et d'une attaque de feu, emmennée par un joueur hors du commun, le caopitaine francesco Totti.

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Deux mois plus tard, le club remportera sa première supercoupe d'Italie, face à la Fiorentina.

L'arrivée d'Antonio Cassano renforça le secteur offensif, ce qui ammènera la Roma deux fois sur la seconde marche du podium, en 2002 et 2004.
La saison 2004 - 2005 sera une saison de souffrance, la Roma jouant la seconde partie de tableau une grande partie de la saison.
En 2005, s'ouvra l'ère Luciano Spalletti. Ere qui verra les giallorossi proposer l'un des plus beaux jeu d'Europe.
Le record de onze victoires consécutives en série, obtenue le 11 février 2006, face à la Lazio, est un premier fait d'armes. D'autres suivront : La place de vice champion 2008, les coupes d'Italie 2007 et 2008, la supercoupe 2007, les deux quarts de finale de ligue des champions, en 2007 et 2008. Une saison 2009 et un début de saison 2010 chaotique pousseront le technicien toscan à la démission. Il sera remplacé par le romain Claudio Ranieri.

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Après une première partie de saison difficile, la Roma réalise l'exploit de rester invaincue 24 matchs consécutifs, de refondre sur l'inter, et même de le doubler à quelques matchs de la fin. Une défaite face à la Sampdoria l'empechera, en plus des résultats en dent de scie du début de saison, d'être sacrée championne. Les résultats obtenus et la remontée sur les lombards resteront tout de même héroiques. La saison 2010 - 2011 ne se passe pas comme prévue, puisque les joueurs perdent envie et courage, forçant Ranieri à la démission. L'ex attaquant Montella reprendra le flambeau, mais celà ne sera pas suffisant, le club n'arrivant pas à accorcher la qualification à la ligue des champions. Restera de cette saison les trois derby remportés, faisant cinq victoires consécutives face au rival laziale.

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Historique terminé, n'hésitez pas si vous voulez rajouter ou modifier certaines choses.

Beau travail en tout cas les gars Wink

Je vais essayer de retrouver certains maillots pour la gallerie du nouveau site.

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third 06 - 07 :

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UEFA 05 - 06 :

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coppa d'Italia 05 - 06 :

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