La rédaction et les rédacteurs du site

Ca me tente bien de faire l'article sur ce qu'on retiendrait pas de Garcia.
Ce serait pour quand ?

Y a pas vraiment de date, on le mettra après ce qu'on retient de toute façon.

N'hésite pas à lire ce qu'on met sur le forum actuellement dans le topic Garcia ^^ car ça peut être intéressant.

On peut aussi s'entre-aider en mettant les pistes à explorer.

ça peut être un truc du genre :
-Les matchs qu'il a raté
-La communication qu'il a raté
-Les joueurs ne le suivant pu tactiquement
-Les erreurs des autres qu'il a payé
ect ...

D'essayez de ratisser large.

Depuis quelques minutes ça bouilonne dans ma tête sur cet article ^^ lol.

Oui ça va être un joli petit travail de recherche, aussi sur les autres saisons, j'aime ça ^^
Tu as une idée sur la forme de l'article ? Ou juste énumérer les points négatifs et les développer ?

Oui un peu par paragraphe je pense, par thèmes.

D'ailleurs il pourrait y avoir 2 grosses parties :
-les erreurs de Garcia
-les erreurs des autres (que Garcia a payé indirectement).

D'acc, je vais deja regarder ce que je peux faire.

Voilà un début d'article Antoine, j'ai prévu encore de parler de tactique et des joueurs, dis moi ce que je dois corriger.

Pourquoi Garcia DEVAIT partir.

C’est désormais officiel, depuis peu Luciano Spalletti est le nouvel entraîneur de la Roma, Rudi Garcia a été remercié par le club. Regardons donc ensemble les raisons de son départ.

Les résultats

Cela peut sembler évident, mais les récents résultats obtenus par la Roma n’étaient pas suffisants. Une victoire en dix matchs (toute compétitions confondues), les giallorossi n’ont plus gagné depuis le dernier derby face à une Lazio médiocre, outre la victoire contre le Genoa sans pour autant convaincre. Victoire qui a sûrement sauvé Garcia une première fois.
Ces passages à vide arrivent souvent chez Garcia, même lors de sa première saison à Rome (où il termine avec 85 points sans remporter le Scudetto), le français avait aligné quatre matchs nuls de suite après sa magnifique série de dix victoires, puis trois défaites lors des trois dernières journées de championnat (même si les jeux étaient faits quant au titre). Lors de sa deuxième saison, Garcia obtient une victoire en dix matchs entre la 18ème et la 27ème journée.
Des résultats insuffisants en Ligue des Champions aussi. Une qualification avec 6 points après un 0-0 à l’Olimpico face au BATE Borisov, une défaite 6-1 à Barcelone et même une défaite en Biélorussie en début de saison. La Roma s’est qualifiée pour les huitièmes de finale en n’ayant remporté qu’un seul match, comme l’an dernier mais avec la qualification en plus.
Qu’est-ce qui a donc pu conditionner ces résultats ? C’est ce que nous allons voir dans les prochains points.

Le jeu

Il arrive en football que certaines équipes soient frappées par la malchance, et se voient perdre des points après avoir dominé pendant tout le match (ce qui s’est passé par exemple cette saison contre la Sampdoria). Mais il est récurrent chez Garcia de constater que ce n’est pas le cas. La Roma ne jouait plus. Il suffisait de l’absence de Gervinho ou de Salah pour qu’il n’y ait plus d’occasions créées en attaque. Dzeko étant décevant et Pjanic ne surfant plus sur sa vague de bonnes performances, c’est le néant devant les buts adverses. Cela se conclut par trois 0-0 de suite face au BATE, au Napoli et à La Spezia.
Étonnement, c’est quand l’attaque va mal que la défense va mieux. La Roma a donc pu jouer quatre matchs de suite sans prendre de but, ce qui n’était arrivé que deux fois pendant la saison, face au Frosinone et face à la Lazio.
Mais les mauvaises habitudes reviennent. Après la pause hivernale, l’attaque est de retour…mais pas la défense : 3-3 face au Chievo et énième piètre performance dans le jeu.

Des humiliations

Certes, c’est déjà arrivé à la Roma (et même sous Spalletti), mais Rudi Garcia a pu collectionner un bon nombre de « valises » tant dans les résultats que dans le jeu.
Pour sa première saison, peu de défaites à constater, mais des défaites sévères. Première confrontation contre la Juventus et première défaite sur le banc de la Roma pour Rudi Garcia : 3-0 au Juventus Stadium. Fin de saison amère avec les défaites 4-1 à Catane et 3-0 en demi-finale de Coupe d’Italie à Naples (après avoir pourtant remporté le match aller à Rome).
Pas de lourde défaite pour sa deuxième année de Serie A, mais une Ligue des Champions à oublier avec le 7-1 subi à domicile face au Bayern Munich, match qui a peut-être signé le déclin de la Roma de Garcia. La Roma accède tout de même à l’Europa League, mais se fait sortir en huitième de finale après une défaite 3-0 encore à domicile contre la Fiorentina, qui avait déjà éliminé la Louve en Coupe d’Italie 2-0 encore à l’Olimpico.
Et enfin cette année, un championnat sans trop de défaites, mais pourtant une à domicile face à l’Atalanta, 2-0, et encore un très gros score en Ligue des Champions avec le 6-1 pris à Barcelone. Autre humiliation, l’élimination en quart de finale de Coupe par La Spezia (après tirs aux buts), un club de Serie B. On pourrait y inclure la défaite 3-2 à Borisov, qui commençait par un 3-0 après 30 minutes de jeu.

Le nouvel entraineur de la Roma, Luciano Spalletti a accordé une longue interview au site du club:

Bon retour à la Roma Luciano...
Merci je ne l'ai jamais oublié, dans mon cœur je n'ai jamais quitté la Roma
Peux tu nous décrire tes émotions en ce moment ?
Je suis très heureux car je sais quelle est la valeur de cette ville, de la Società et de cette équipe. Travailler avec de gens de grande valeur me passionne.
Pensais tu que cette opportunité se représenterait ?
Dans le football j'ai vu des choses qui ne pouvait pas se passer ailleurs dans la réalité. Pour moi il y avait de l'espoir parce que Rome est un endroit magnifique.
Il y a eu plusieurs articles sur ton retour, quand as tu commencé à les prendre au sérieux ?
Quand j'ai reçu un appel de Sabatini.
Comment s'est passé la rencontre avec le président Pallotta ? Quel sujet avez vous le plus approfondit ?
J'ai trouvé une personne avec un enthousiasme débordant et qui, malgré la distance, se soucie vraiment de notre équipe, de notre ville, de nos couleurs. J'ai trouvé une personne qui a parlé du plan d'avenir de la Roma et ce sont les paroles les plus importantes de notre président. Les gens pensent souvent que ceux qui habitent loin prennent ces expériences comme un jeu, un amusement mais pour lui la Roma est affaire de cœur et c'est la chose la plus importante.
Pallotta a une série de projets très ambitieux pour la Roma à la fois sur et en dehors du terrain, vous en avez parlé ?
Il m'a décrit tous ses plans et toutes ses ambitions de croissance du club. Le président est quelqu'un de visionnaire et qui veut bien faire pour l'avenir. Détail très important pour nous.
Beaucoup de choses ont changé depuis ta première expérience à la Roma. Depuis que tu es parti as tu suivi les changements sur et en dehors du terrain mené par la Società ?
Comme je le disais, je ne me suis jamais détaché de la Roma. Avec ma famille nous avons été absent seulement un an, puis mon fils, qui est un tifoso de la Roma, est revenu étudié ici et a suivi tous les évènements. Je sais une chose : l'équipe a changé, il y a une très bon travail de restructuration et pour certaines c'était nécessaire.
Y a t il un moment particulier que tu gardes en mémoire de ta première expérience ici ?
Si je repense à mon passé à la Roma tout m'excite parce que j'ai vécu intensément cette expérience. Il y a eu plusieurs étapes, c'est un passage important de ma vie aussi bien professionnellement qu'humainement. Ces nuits où on jouait la Champions dans le stade plein je ne les oublierais jamais meme l'hymne chanté sur scène je n'ai jamais pu l'oublier.

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Se potessi tornare indietro e fare una cosa diversamente, quale sceglieresti?
È un gioco che non sono abituato a fare, non serve buttare energie per quello che è stato, ma portarsi dietro la storia è importante per il futuro. Voglio lavorare bene sin da subito, attingere alle esperienze passate, certo, ma un momento in particolare è bene non elencarlo e lo tengo per me

Che idea hai della squadra che stai per guidare?
Quest’anno non abbiamo altra scelta, il campionato ha evidenziato che ci sono squadre che giocano bene: la nostra è buona e bisogna giocare un buon calcio per essere al livello degli altri. Abbiamo fatto dei passi avanti su quello che è il confronto in Europa, lì molte squadre iniziano con la palla dal dietro, stanno corte sul campo, sanno fare il fuorigioco, sanno pressare alto: questo gruppo ha le caratteristiche per farlo e lo ha fatto con Garcia. La mia attenzione va in questa direzione: diventare una squadra che gioca un buon calcio

Ti sei preso una pausa dal calcio dopo aver lasciato lo Zenit. Questo periodo ti ha ricaricato in vista della nuova avventura che stai per intraprendere?
Questo è il mio lavoro: non avevo bisogno di ricaricarmi, mi piace. Mi dà un po’ di tensione ma è naturale. Svolgo questa professione con sentimento e sono felice di essere tornato a fare il mio lavoro, se fosse capitata una situazione così bella prima magari lo avrei fatto in precedenza

Quale sistema di gioco hai intenzione di utilizzare? Pensi ci sia bisogno di tempo per far assorbire ai giocatori la tua idea di calcio?
Il calcio è difficile poterlo cambiare come se fosse un interruttore. Penso che questo momento della Roma sia soprattutto mentale. Spero che ritoccando i tasti giusti e parlando in maniera pulita e chiara alla squadra si possa ritrovare quello spirito e quel carattere, aspetti che vanno in evidenza prima dei numeri e dei moduli

Quanto ti emoziona tornare all’Olimpico da allenatore della Roma?
Ancora non so cosa accadrà e questa è una risposta che darò dopo aver avuto l’impatto con quella partita

Hai avuto sempre un grande rapporto con i tifosi: quanto è importante il loro sostegno per tornare a vincere con la Roma?
I nostri tifosi possono dare molto alla squadra, tutti lo sappiamo. Abbiamo un numero eccezionale di sostenitori e averli al nostro ci darà una spinta superiore rispetto a quella che noi riusciamo a mettere sul rettangolo verde di gioco. Ma loro apprezzano l’impegno, la disponibilità, il sudore e la lotta: solo se metteremo in campo questi ingredienti avremo il loro assenso

I tifosi si sono detti molto contrariati a causa dell’inserimento delle barriere in Curva Sud da parte della autorità. Pensi che i calciatori abbiano sofferto l’assenza dei loro sostenitori?
L’ambiente di Roma è particolarmente soggetto a sentire questo affetto trasmesso dai nostri sostenitori e senza di loro viene a mancare qualcosa, fanno parte della nostra storia, del nostro vivere quotidianamente il lavoro. Possono dare molto alla nostra squadra

Molti dicono che Roma è un ambiente molto difficile da gestire: sei della stessa opinione, considerando che qui hai vinto due Coppe Italia e una Supercoppa?
È un ambiente difficile, proprio per la serie di componenti appena elencate. Ci sono molti innamorati della Roma e quando c’è un sentimento così forte dobbiamo saper esibire una professionalità importante, perché loro vogliono questo e allo stesso tempo può influenzare e creare un disturbo all'interno della squadra. È una situazione avvolgente quella dei nostri tifosi, che ti può dar tanto ma allo stesso tempo togliere molto

Siamo a metà stagione e la Roma si trova a 7 punti dalla vetta. È ancora realistico parlare di Scudetto?
Quello di cui si può parlare è di quello che viviamo giorno dopo giorno: abbiamo la nostra situazione e dobbiamo riguadagnarci il rispetto di tutti quelli che ci guardano. Sento fare troppi discorsi a troppa gente. Dobbiamo lavorare in maniera seria e far sì che poi il nostro lavoro determini una serie di possibilità future. Non dipenderà, però, solo da noi. Quando si è dietro di qualche punto come in questo momento dipenderà anche dall'andamento avversarie, ma noi abbiamo l’obbligo di provare a dare il massimo sempre

L’ultima: hai un messaggio per i tifosi che sono così entusiasti del tuo ritorno?
Il messaggio è lo stesso che ho mandato quando sono venuto la prima volta a Roma: io arriverò presto a Trigoria, andrò via tardi e tutto il tempo passato lì sarà per di dare un contributo alla nostra squadra e alla nostra Società. E Forza Roma

Je dois partir je met le reste si quelqu'un veut continuer sinon je reprendrais ce soir.

Je finis l'interview.

Sinon Gaby => Faire une partie sur les relations qui semblent s'être crispés avec Pallotta depuis l'été passé, et ce qui va avec Pallotta car c'est sa décision le probable "froid" avec le staff athlétique américain.
Une petite partie sur le mercato hivernal et estival 2015.

Yep, je vais continuer ça alors, demain j'ai pas des masses de temps, je pense qu'il sera prêt samedi, ça te va ?

De toute façon je pense ça sera lundi ou mardi.

Car samedi il y a la conférence de Spalletti et avant-match.

Après réflexion, je pense que c'est mieux niveau timing de le mettre sur le site avant le premier match de Spalletti.

Du coup samedi ça va ?
Je peux essayer de le finir ce soir sinon.

Si tu peux ce soir (même tard dans la soirée), ça serait niquel.

Ca devrait le faire.

Pourquoi Garcia DEVAIT partir.

C’est désormais officiel, depuis peu Luciano Spalletti est le nouvel entraîneur de la Roma, Rudi Garcia a été remercié par le club. Regardons donc ensemble les raisons de son départ.

Les résultats

Cela peut sembler évident, mais les récents résultats obtenus par la Roma n’étaient pas suffisants. Une victoire en dix matchs (toute compétitions confondues), les giallorossi n’ont plus gagné depuis le dernier derby face à une Lazio médiocre, outre la victoire contre le Genoa sans pour autant convaincre. Victoire qui a sûrement sauvé Garcia une première fois.
Ces passages à vide arrivent souvent chez Garcia, même lors de sa première saison à Rome (où il termine avec 85 points sans remporter le Scudetto), le Français avait aligné quatre matchs nuls de suite après sa magnifique série de dix victoires, puis trois défaites lors des trois dernières journées de championnat (même si les jeux étaient faits quant au titre). Lors de sa deuxième saison, Garcia obtient une victoire en dix matchs entre la 18ème et la 27ème journée.
Des résultats insuffisants en Ligue des Champions aussi. Une qualification avec 6 points après un 0-0 à l’Olimpico face au BATE Borisov, une défaite 6-1 à Barcelone et même une défaite en Biélorussie en début de saison. La Roma s’est qualifiée pour les huitièmes de finale en n’ayant remporté qu’un seul match, comme l’an dernier mais avec la qualification en plus.
Qu’est-ce qui a donc pu conditionner ces résultats ? C’est ce que nous allons voir dans les prochains points.

Le jeu

Il arrive en football que certaines équipes soient frappées par la malchance, et se voient perdre des points après avoir dominé pendant tout le match (ce qui s’est passé par exemple cette saison contre la Sampdoria). Mais il est récurrent chez Garcia de constater que ce n’est pas le cas. La Roma ne jouait plus. Il suffisait de l’absence de Gervinho ou de Salah pour qu’il n’y ait plus d’occasions créées en attaque. Dzeko étant décevant et Pjanic ne surfant plus sur sa vague de bonnes performances, c’est le néant devant les buts adverses. Cela se conclut par trois 0-0 de suite face au BATE, au Napoli et à La Spezia.
Étonnement, c’est quand l’attaque va mal que la défense va mieux. La Roma a donc pu jouer quatre matchs de suite sans prendre de but, ce qui n’était arrivé que deux fois pendant la saison, face au Frosinone et face à la Lazio.
Mais les mauvaises habitudes reviennent. Après la pause hivernale, l’attaque est de retour…mais pas la défense : 3-3 face au Chievo et énième piètre performance dans le jeu.

Des humiliations

Certes, c’est déjà arrivé à la Roma (et même sous Spalletti), mais Rudi Garcia a pu collectionner un bon nombre de « valises » tant dans les résultats que dans le jeu.
Pour sa première saison, peu de défaites à constater, mais des défaites sévères. Première confrontation contre la Juventus et première défaite sur le banc de la Roma pour Rudi Garcia : 3-0 au Juventus Stadium. Fin de saison amère avec les défaites 4-1 à Catane et 3-0 en demi-finale de Coupe d’Italie à Naples (après avoir pourtant remporté le match aller à Rome).
Pas de lourde défaite pour sa deuxième année de Serie A, mais une Ligue des Champions à oublier avec le 7-1 subi à domicile face au Bayern Munich, match qui a peut-être signé le déclin de la Roma de Garcia. La Roma accède tout de même à l’Europa League, mais se fait sortir en huitième de finale après une défaite 3-0 encore à domicile contre la Fiorentina, qui avait déjà éliminé la Louve en Coupe d’Italie 2-0 encore à l’Olimpico.
Et enfin cette année, un championnat sans trop de défaites, mais pourtant une à domicile face à l’Atalanta, 2-0, et encore un très gros score en Ligue des Champions avec le 6-1 pris à Barcelone. Autre humiliation, l’élimination en quart de finale de Coupe par La Spezia (après tirs aux buts), un club de Serie B. On pourrait y inclure la défaite 3-2 à Borisov, qui commençait par un 3-0 après 30 minutes de jeu.

Les choix tactiques

Certains choix de Garcia ont semblé inappropriés avant ou pendant certaines parties. Quelques matchs ont été mal gérés et des points ont été perdus. C’est le cas par exemple lors du premier match contre le Bayer Leverkusen en 2015. Après avoir été menée 2-0, la Roma parvient à retourner la situation et à mener 4-2 jusqu’à la 84ème minute de jeu… pour terminer le match sur le score de 4-4. Les giallorossi ont encaissé deux buts en deux minutes, suite à une mauvaise gestion du score de Rudi Garcia, avec par exemple l’entrée inexplicable d’Edin Dzeko juste après le 4-3, avec malgré tout une équipe qui reculait progressivement.
Autre exemple aussi lors de la saison 2013-2014 et la rencontre à domicile face à Sassuolo, où la Roma menait 1-0 jusqu’à la 94ème minute, et n’a pas su gérer son avantage.
Cette année, le plus gros problème de Garcia fut sans doute son obstination à garder son module de 4-3-3 malgré un jeu prévisible et de nombreuses absences. La défense, bien que capable de bonnes prestations, a toujours eu des problèmes de placement. Pourtant individuellement, Manolas et Rüdiger ont su montrer qu’ils étaient à la hauteur.

La relation avec Pallotta

Depuis l’été dernier, Garcia n’était plus en très bon termes avec le président. En effet, en fin de saison, l’ancien Lillois avait indirectement demandé à Pallotta une augmentation du budget pour le mercato estival, chose qui n’avait pas été appréciée par le président. La dernière déclaration de l’Américain a confirmé qu’il ne portait pas Rudi Garcia dans son cœur, en le contredisant à propos de la condition physique des joueurs. Des soucis avec ses supérieurs, ce n’est jamais bon, et cela a sans doute facilité la prise de décision de Pallotta quant au futur de son entraîneur.

Le mercato

Sur ce dernier point, la faute n’est pas à mettre entièrement sur Garcia. Les dernières sessions de mercato ont déçu, notamment avec les acquisitions de Doumbia, Ibarbo ou Gyömbér. Il aura fallu attendre le mercato actuel pour céder Iturbe, qui n’a jamais convaincu. En revanche rien n’a été fait pour se procurer un arrière gauche, alors que la Roma souffre énormément à ce poste. Cole étant sur la touche, Digne est le seul latéral gauche de l’équipe, et c’est Torosidis qui le remplace en cas d’absence, lui qui est censé jouer à droit. Résultat, Garcia se retrouve avec un seul latéral gauche, et deux latéraux droits qui ne sont pas au niveau, et se voit obligé de faire reculer Florenzi pour dépanner. L’italien qui est d’ailleurs progressivement devenu l’arrière droit titulaire de la Roma, c’est dire ! Garcia a donc aussi payé pour les erreurs de Sabatini, même si le Français avait aussi son mot à dire sur le mercato.

Rudi Garcia n’a donc pas été parfait, mais il aura tout de même laissé une belle empreinte dans l’histoire de la Roma. À présent il ne nous reste plus qu’a espérer que ces défauts seront corrigés avec l’arrivée de Spalletti. Forza Roma !

Gabriel Nista

J'ai pas encore lu, mais si ça te dérange pas je me permettrais peut-être de rajouter 1-2 petites phrases à droite à gauche si ça me vient. Sans aller contre ce que tu as marqué.
Du genre intégrer la phrase "on a fait plus de tactique aujourd'hui qu'en trois mois".

Oui oui vasy je me considère pas comme un rédacteur en chef xD

Non mais c'est plus pour rajouter 1-2 petites idées ^^

http://cesololaroma.org/pourquoi-garcia-devait-partir/

Nickel ! Fais peut être juste gaffe à quelques fautes d'orthographe ou mots oubliés, mais c'est minuit je comprends Mr. Green

Ok merci, j'ai revérifié, je pense c'est mieux.

Vous confirmez les bonnes impressions que vous avez eu au début ?
“Je suis revenu car j'ai déjà entraîné la Roma et je sais à quel point c'est beau de l'entraîner. Mais il faudra un peu de temps pour être au courant des améliorations et des nouvelles choses créées, pour cela que j'ai voulu dormir ici, comme ça je les apprends au plus tôt et je peux arriver à votre niveau. J'y rajouterai quelque chose, la bonne impression vient du premier entraînement, puis elle s'est confirmé dans le deuxième et le troisième, ce à quoi je ne croyais pas. Les joueurs ont été très attentifs sur l'aspect de l'envie que je le demandais de mettre sur le terrain et c'est le meilleur message que je pouvais recevoir. Ca fait des années que j'entraîne, quand il y a un changement d'entraîneur certains restent déçus justement pour Garcia et il y a le risque qu'ils soient perturbés ou trop amers pour fournir un entraînement riche. Garcia a fait de bonnes choses, il a laissé des records derrière lui, il fera une grande carrière et je lui souhaite bonne chance.

La préparation physique ?
“Elle fut débattue plus d'une fois. Moi j'ai dit cela car je suis convaincu que dans ce football, le nerveux, le tempérament, le signal que donne la tête aux jambes est le plus important. Le discours est ample, il faut inclure les moments passés hors de l'équipe, quand on fait ce travail on cherche toujours le chemin le plus court et ce n'est pas de refaire une longue préparation. Que dire aux joueurs, que s'ils perdent des matchs pendant 2 mois encore c'est pas grave car ils ont rien dans les jambes ? Les joueurs n'ont pas d'excuse, on est en retard et l'unique chemin est celui de gagner tout de suite, autrement les mêmes personnes qui m'ont accueilli à Fiumicino, dans deux mois ils me prennent par l'oreille et me font faire le tour de la ville, que je ferai de toute façon car je connais déjà Rome. "

Comment fut le retour ?
“Très beau. Les équipes de ce niveau sont constitués de deux teams, une qui va sur le terrain et une qui travaille derrière et je ne connaissais pas tous ces gens qui travaille du matin au soir pour qu'on puisse tous faire notre travail, c'est important et on doit en tenir compte”.

Quand reverra-t-on la Roma de Spalletti ?
“J'espère tout de suite, les autres avancent vite et on doit partir fort, il faut qu'on se ré-approprie nos qualités, je veux une réaction très forte, je veux montrer de quoi cette équipe est faite”.

Objectifs ?
“J'ai répondu plus tôt, le premier impacte est le premier match, la première semaine de travail, ce que l'équipe réussit à changer rapidement. On doit faire ça, dans n'importe quel travail on fait ça, s'il n'y a pas ça ça sera dur d'arriver à d'autres steps”.

Comment voyez-vous Florenzi, Pjanic et Gervinho?
“Florenzi est un 2 ou un 7 ? Pour moi c'est un 3 et demi, 4 et trois quarts. Il a joué à beaucoup de postes, il joue bien et ça sera un problème. Je suis revenu et j'ai regardé notre football qui est de niveau, nos entraîneurs sont bons car ils enseignent des principes de jeu, il y a moins de rigidité par rapport à la façon d'être sur le terrain. Il y a différents modules du 4-4-2 au 4-2-3-1, type 4-2-3 et demi-1, où les joueurs ont plus de rôles, ils ont développé ces qualités et sont plus complets, plus important que l'équipe ou le module. Le Napoli a déjà joué avec des modules différents, la Fiorentina et l’Empoli aussi, j'aime aussi le Torino. Cette élasticité nous approche du football européen, on est plus européens et ça nous sert à proposer un bon football et proposer à notre publique un bon jeu. e

Ce qui vous a poussé à démissionner est toujours présent ?
“Je suis venu pour démissionner ? Je suis venu ici vous ne pouvez pas savoir pourquoi, entraîner la Roma est magnifique, le reste est oublié. Pour moi c'est tout nouveau, je suis revenu car trois tifosi particuliers me me l'ont demandé et à eux je ne peux pas dire non, ce sont mes enfants. Ma femme m'a envoyé la photo de ma fille de 4 ans Matilde, on a un tifoso en plus."

Vous avez parlé de mercato avec Sabatini ?
“Je dois faire connaissance avec les joueurs, je dois faire une formation, mais s'ils ont été choisi par Sabatini qui est un très grand, des qualités il en a, puis il est clair qu'on se verra pour des ajustements, on peut s'améliorer partout. J'avais apporté un cadeau à Sabatini mais je l'ai gardé, il m'a rappelé pour guider cette équipe, j'ai une idée mais je la garde pour moi”.

Vous vous baserez sur le 4-2-3-1 ou vous changerez ?
“Lors de mon premier séjour le 4-2-3-1 était l'idéal pour les joueurs qu'on avait, puis à l'étranger j'ai appris que la solution était de s'ouvrir, d'absorber, connaître et je l'ai fait. Si on peut utiliser le module on le fera, il fut amusant, combien de fois je me suis excité à l'entraînement de les voir aussi fort. Si les mesures du terrain ne changent pas, je me suis dit 4-2-3-1 mais maintenant quelque chose de différent se fait aussi. Comme vous avez dit, il faut mettre en place rapidement, l'équipe doit être très ouverte et assimiler les bonnes nouvelles, autrement on prend du retard. ”.

Qu'a dit Pallotta pour vous enlever les doutes, si vous en aviez ?
“Ca n'a pas dépendu de ce qu'ils m'ont offert, ce fut facile car j'avais du plaisir à entraîner la Roma. Si après tu connais les choses en profondeur c'est mieux. J'ai eu des società plus proches dans le passés qui n'ont pas autant aidé, la différence on l'a fait nous, Pallotta de là-bas a quand même un sentiment fort pour la Roma, il en a une passion, j'ai vu comme il s'agite mais je ne pouvais pas le dire (rire). Ceux qui portent le maillot de la Roma doivent comprendre l'amour qu'il y a ici à Rome. Francesco aura communiqué son histoire et ce qu'il a vécu,maintenant il faut juste faire vite des points.

Comment vous avez trouvé l'équipe tactiquement ? Et Castan ?
“Garcia a fait d'après moi un très bon travail, j'ai vu jouer la Roma de très belle façon à des moments, il a fait tout ce qu'il devait faire et je changerai probablement quelque chose, mais l'objectif est de donner de la continuité, faire jouer l'équipe d'une façon connue, qui soit meilleure que celle de l'équipe d'en face, c'est pas un problème de différence mais de nouvelles connaissances, il y a un football plus ouvert et moins rigide, ces joueurs savent s'adapter. Je crois que tout dépend du milieu, tous les ballons y passent et on a un milieu splendide. Si 90% de nos ballons doivent être gérer par les noms que l'on a, je suis tranquille. Strootman s'améliore de jour en jour et aujourd'hui j'ai regardé Castan, je sais ce qu'il a eu et il m'a dit qu'il allait bien, il m'a assuré que demain il ferait un grand match s'il devait jouer. Ces trois jours, il s'est bien entraîné”.

Qui sera le playmaker ? Rudiger ?
“Pjanic, Willy et De Rossi savent le faire. Willy ? Mais c'est Vainqueur (rire). On a des joueurs qui prennent le jeu à leur compte, si vous vous rappelez on avait Pizarro était trequartista et qu'on avait descendu plus bas et cette Roma l'avait rendu précieux dans ce rôle. J'ai des joueurs qui savent faire cela, j'ai vu des matchs de la Roma de Garcia, De Rossi sait faire le double mediano, comme d'autres, c'est une qualité importante. Il y a des schémas à développer, comprendre qui le fera le mieux. Strootman aussi sait le faire, je l'ai vu s'entraîner avec la Primavera, c'est un joueur exceptionnel. Je ne suis pas un grand entraîneur, mais je suis ami avec de grands entraîneurs, Ancelotti m'a souhaiter bonne chance de manière particulière, il m'a demandé 3-4 milieux qu'on a. Qui est l'autre entraîneur ? Je ne peux pas le dire. Rudiger ? Il sait aussi jouer à 3, car avec l'Allemagne il joue ainsi, quand tu divises la largueur en 2 au lieu de 3 tu es facilement attaquable par l'attaquant quand tu fais tourner le ballon, il ne peut pas être celui qui lance les offensives. Quand celui de gauche pousse, celui de droite défend, on atteint ainsi l'intensité que l'on veut”.

Quelle idée vous-êtes vous fait de la Curva Sud ?
“J'en suis très désolé, je suis en retard et je ne me suis pas mis au courant, quand le stadio Olimpico est vide tu es malheureux. Il y a eu ce moment où on a été bon en Champions, en comparaison c'est désolant. Il faut plus de qualité, on doit avoir une grande équipe pour remonter, si vous regardez combien de points ils ont fait devant, ça devient difficile de les atteindre mais pas impossible, regardez la Juventus, il faut une grande équipe et une grande società pour les remontés et un entraîneur qui fait le moins d'erreur possible ainsi qu'une Curva pleine à craquer qui rugit et chante un hymne précieux comme Grazie Roma. S'il n'y a pas cela, on perd un appuis important. Je demande aux tifosi de nous soutenir, pour moi la Curva est pleine demain”.

Vous êtes contre ces comparaisons avec le passé ?
“Je ne les prends pas en compte, je suis sûr de ce que j'ai vu et entraîné, c'est une bonne équipe et on devrait produire un beau football. D'après moi et ce que j'ai vu ces derniers jours on peut le faire rapidement. Dzeko ? J'ai toujours joué avec des pointes qui coupaient au premier poteau car c'est le seul moyen pour eux de prendre le ballon puis on a eu Francesco qui pouvait la prendre partout et maintenant Dzeko. Mes collègues à Coverciano l'appellent la balle passante, si elle était pas coupée au premier poteau elle allait en touche, mais maintenant on a Dzeko qui l'a prend avec ses 2 mètres. Si vous m'aviez demandé quel attaquant je voulais, j'aurais répondu Dzeko”.

De Rossi ?
“Je lui ai parlé, avant vous m'avez demandé ce que pouvait être le changement dans une équipe. Daniele est fondamental, il a de l'expérience et de la qualité, il peut développer des choses, avec d'autres je peux lui demander plus de choses, il m'a donné sa disponibilité complète, il fera autre chose que je ne peux pas dire mais qui me fera très plaisir”.

Tu mets plus de temps à traduire, mais je pense + de plaisir ^^

Son italien est "du vrai italien", il est plus difficile à traduire tout en gardant le sens précis.

Surtout qu'il parle pas mal de tactique ou de choses précises, donc oui c'est plus dur / long mais le plaisir est plus présent aussi !

Je viole déjà le respect en imposant le match en plein repas de famille donc désolé je serais pas là pour vous aider dans les déclarations.

Suis la pour les notes.